jeudi 22 novembre 2012

Cette musique...
Le passé qui résonne note après note au creux de mes oreilles.
Le silence au bout du bras.
Enfermée dans mon monde, dans l'avant, dans tout ce que le rien avait de douloureusement agréable.
Ambiance, mais lent coliques.
 

Fermer les yeux, regarder dériver de sombres images sous le voile des paupières.
Le froid, la petite fille. A lys, une crinière nonchalante, assise sur le sol de sa chambre à attendre le petit après sol.
C'est fou comme le temps transforme les choses, comme le temps adoucis les douleurs, comme il trompe le souvenir.
J'ai l'âme de l'enfant et la mémoire du vieux.

Instable
Insatiable
Insaisissable

J'ai besoin de courir, de vivre, de chanter, de bruler mon corps, mon cœur, mes ailes.



dimanche 10 juin 2012

Le changement c'est maintenant.

Soirée paisible. Le retour sur les deux années qui viennent de s'écouler.
Il y a eu Mika, Londres, Emilie, la vie à 200 à l'heure, la liberté.
Se bruler les ailes et revenir en France.
Point de départ.
Les retrouvailles avec L
L'auto destruction
L'Amour interdit
Puis finalement l'Amour.

Et maintenant ?

Le Bonheur, Le vrai.

dimanche 15 janvier 2012

AUTO DESTRUCTION,

LE COMPLEXE DU PANTIN.

JOUE AVEC MON CORPS

EN ÉCHANGE DU TIENS.

jeudi 29 septembre 2011

Accords à Corps

Coeur, Rape, Rendre.

Entre les tourments de l'autre coté de la manche, effacés, et ceux qui hantent maintenant mes pauvres neurones emiettés, je ne sais plus où donner de la tête. Ou bien devrais-je donner ma tête. Qu'on me la coupe !

Il y a ses yeux, trop grands pour en sortir indemne. J'y ai nagé et maintenant je me noie. Coincée dans des bras que je refuse de quitter, au détour de sentiments que l'on n'avoue que derrière l'ivresse... L'ami. AMI. Mais l'ami qu'on câline, qu'on embrasse et dont l'on rêve quand on arrive à dormir. Parce qu'on le sait au fond, il y a ces regards, ces mots ravalés à la dernière seconde, ces silences gênants; une bière, deux bières, trois bières, Ses Bras, quatre bières, cinq bières, Ses lèvres; des Accords à Corps...

jeudi 8 septembre 2011

vendredi 2 septembre 2011

Comme elles étaient douce ces soirées, murmures infimes, silence encore. Le doux soupir de l'enfant qui dors et du père qui semble apaisé. J'étais présente mais ailleurs, dans mon monde à la langue différente, si mal et pourtant si bien. C'est le gout de l'aventure qui m'a jeté là-ba. Et maintenant qu'est ce que je fais. J'écris encore et encore des lignes salées, je joue encore et encore des accords écorchés et je pleure encore et encore des larmes injustifiées. L'amour parait-il, je n'y crois même plus. Et le chevalclefdesol à jamais sur sa peau, il suffira d'un mouvement, d'un soubresaut pour que son regard croise les extravagance de ma plume, niché au creux du prénom sacré, petit ange blond aux yeux bleus.

Cet homme et fou. Qu'on me coupe la tête.

dimanche 26 juin 2011

MYME